histoireeuu

"Le pourquoi est la malédictions des esprits critiques, alors que le comment est la bénidiction des imbéciles"

- Moi.

Une petite histoire, qui s'est surnoisement insinuée dans mon esprit mais, je l'aime bien donc je suis aussi coupable qu'elle, coupable de croire mais, je me suis laissé séduire par elle, par son aspect chatoyant, sa vie indéniable (en tout cas à mes yeux :) ) , donc sans plus attendre:

" C'était l'histoire d'un homme et d'une femme (histoire de personnaliser l'histoire, imaginez vous et une personne du sexe opposé qui compte beaucoup pour vous, comme personnages principaux.) qui étaient follement en amour, quoique non puisque ils étaient très sains d'esprit mais bon... Ils avaient depuis longtemps oublié les circonstances de leur rencontre mais, cela ne les dérangeait pas, le comment leur importait peu, mais ils connaissaient le pourquoi. Simplement, parce-que, sans aucuns autres artifices. Ils avaient un cercle d'amis restreint et partagé mais, peu leur importait, la qualité de leur rapports humains leur importait plus que la quantité ou la fréquence. Ils aimaient bien se jouer de petits tours pas mesquins du tout, seulement pour montrer qu'ils pensaient l'un à l'autre et qu'il se répugnaient à se laisser tuer par la routine. Un état d'esprit serein les avait envahi, ils étaient l'un pour l'autre, à la fois drogué et vendeur. Bien sur, le bonheur idyllique n'existe jamais éternellement, sauf dans nos désirs.

Donc un jour l'homme arriva très tard de travailler et n'avait pas avertit qu'il ferait du temps supplémentaire. Mais la femme croyant le voir en soirée avait préparée une soirée romantique pour eux et elle y avait mit beaucoup de temps et avait longuement anticipé le moment, qui jamais n'est venu. L'un affaibli par une longue jourée de travail et l'autre au bout de nerfs après avoir passé une soirée à espérer passer une bonne soirée. Ça ne prit pas beaucoup de temps pour que les pensées soient dépassées par des mots vifs, dénoués de formes physiques, ils n'ent étaient pas moins capable de causer des blessures. Ils passèrent des heures à s'échanger des mots cruels, des heures qui, étrangement, s'écoulaient aussi rapidement que les heures révolues passées à se blottir sous les draps les dimanche matins. Aux petites heures, ne pouvant plus supporter la duretée des phrases échangées, la femme commenda un taxi et quitta, pour ne plus jamais revenir disait-elle.

En fait elle dut revenir une dernière fois, elle vint chercher ses effets personnels. Ils ne parlèrent pas mais échangèrent des regards profonds, se comprennant parfaitement, peut-être même sans le vouloir vraiment. Lorsqu'elle eu tout ces effets la femme quitta l'appartement de l'homme. Elle prit place à bord de son taxi qui l'avait attendu à l'extérieur, ignorants des drames de l'intérieur. La femme jetta un dernier regard à l'appartement et vit l'homme à la fenêtre. Elle le regarda, d'abord indifférente puis, elle lui sourit, d'un sourire empreint d'une sincérité complice. Puis lorsque le taxi se mit en marche et commença lentement à s'éloigner elle lui envoya un baiser, spontané, et brulant de chaleur humaine, ce baiser était plus qu'amical. L'homme regarda s'éloigner lentement cette femme, celle qu'aucune autre ne pourrait remplacer, et il sourit, seul dans son appartement... plus jamais ils ne se revirent mais tout deux marquèrent l'autre de leur contact indélibile."