5 mars 2005
Le secret des morts
Des ombres peureuses
Traînent et dansent
Dans les rues silencieuses
Qui respirent la souffrance,
Des feuillent mortes planent
Au dessus des jardins,
Les fleurs des fenêtres fanent
Déjà depuis quelques matins,
Les maisons en ruines
Laissent leurs volets claquer
Et la petite vermine
A déjà tout dévasté,
Le sol est recouvert de sang
Et de corps brisés,
Ses visages troublant
Ont de bien tristes secrets. . .
Ils racontent la misère,
Des douleurs intenses,
Des corps qui tombent à terre
Dans une infinie violence,
Ils montrent la lâcheté des bourreaux,
Leur massacre sans pitié,
Toutes les lames plantées dans le dos
Comme de simple trophées,
Ils racontent mais on n'entend pas,
Ils montrent mais on ne voit pas,
Jamais ce massacre ne s'expliquera,
Ces secrets dormiront toujours là. . .
Traînent et dansent
Dans les rues silencieuses
Qui respirent la souffrance,
Des feuillent mortes planent
Au dessus des jardins,
Les fleurs des fenêtres fanent
Déjà depuis quelques matins,
Les maisons en ruines
Laissent leurs volets claquer
Et la petite vermine
A déjà tout dévasté,
Le sol est recouvert de sang
Et de corps brisés,
Ses visages troublant
Ont de bien tristes secrets. . .
Ils racontent la misère,
Des douleurs intenses,
Des corps qui tombent à terre
Dans une infinie violence,
Ils montrent la lâcheté des bourreaux,
Leur massacre sans pitié,
Toutes les lames plantées dans le dos
Comme de simple trophées,
Ils racontent mais on n'entend pas,
Ils montrent mais on ne voit pas,
Jamais ce massacre ne s'expliquera,
Ces secrets dormiront toujours là. . .
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